Prévu pour un vol très matinal entre Gatwick et Amsterdam, j'ai probablement passé cette barre symbolique quelque part au nord des côtes belges, en descente vers les Pays Bas.
Arrivé à la crew room à 5h ce matin, j'ai eu le temps de préparer les documents afférents au vol et de traverser les flight briefings en détail juste avant l'arrivée du Captain qui a fait le chemin en taxi depuis stansted, sa base, d'où il est parti à 3h30 du matin.
Nous avons revisité les briefings et assigné les secteurs. Il volera vers les Pays-Bas, je ferai le retour, car il n'était pas familier avec Gatwick (moi non plus, avec mon peu d'heures au compteur, mais il comptait visiblement sur moi).
Puis vint la rencontre avec les cabin crew, dont un d'entre eux était une connaissance d'un vol sur Faro le mois dernier. A peine le temps de leur communiquer mon souhait de boisson (un café bien serré s'imposait à cette heure matinale !) et nous partons vers les contrôle de sécurité.
Par chance, je n'ai pas à retirer mes chaussures. En effet, la personne responsable de s'assurer que nos badges sont valides décide, à la tête du client, d'octroyer un petit carton autorisant l'heureux bénéficiaire à conserver ses souliers.
Arrivé à la crew room à 5h ce matin, j'ai eu le temps de préparer les documents afférents au vol et de traverser les flight briefings en détail juste avant l'arrivée du Captain qui a fait le chemin en taxi depuis stansted, sa base, d'où il est parti à 3h30 du matin.
Nous avons revisité les briefings et assigné les secteurs. Il volera vers les Pays-Bas, je ferai le retour, car il n'était pas familier avec Gatwick (moi non plus, avec mon peu d'heures au compteur, mais il comptait visiblement sur moi).
Puis vint la rencontre avec les cabin crew, dont un d'entre eux était une connaissance d'un vol sur Faro le mois dernier. A peine le temps de leur communiquer mon souhait de boisson (un café bien serré s'imposait à cette heure matinale !) et nous partons vers les contrôle de sécurité.
Par chance, je n'ai pas à retirer mes chaussures. En effet, la personne responsable de s'assurer que nos badges sont valides décide, à la tête du client, d'octroyer un petit carton autorisant l'heureux bénéficiaire à conserver ses souliers.
Les contrôles passés, direction le bus. Notre avion est stationné au terminal Nord, ce qui est toujours un peu pénible car le trajet en bus prend 10 grosses minutes à chaque fois (contre 2 ou 3 au terminal sud). Mais c'est l'occasion de faire plus ample connaissance avec l'équipage. L'humeur de chacun était au beau fixe, entre les bâillements et les histoires des vols de la veille.
G-EZDX est un avion neuf, sur lequel j'ai eu l'occasion de voler une fois. Il fait partie de la flotte des 20 A319 basés à Gatwick (auxquels s'ajoutent des 320 et 321 de GB Airways, rachetée par Easyjet il y a peu).
Je vous passerai les différentes check et autres inspections préliminaires, mais nous sommes partis avec 3 minutes d'avance, et arrivé dans les cieux néerlandais très lentement à la demande des contrôleurs locaux qui, visiblement, avaient énormément de travail en ce jeudi matin.
La matinée est traditionnellement très chargée en terme de traffic aérien pour les gros aéroports européens. En effet, il existe un système très organisé de traffic en Atlantique Nord (appelé NATs) qui fait que tous les transporteurs transatlantiques débarquent le matin et repartent dans l'après-midi. Nous étions "coincés" à 160 kts entre un 777 de Continental Airlines et un 747 de Cathay Pacific.
Le taxi à Amsterdam n'est pas une partie de plaisir. En atterrissant sur la piste la plus excentrée de l'aéroport (la 18R), il faut parcourir quelques kilomètres pour arriver au point d'arrêt avant la 18C, qui est quasiment exclusivement réservée aux appareils de la KLM, la compagnie locale.
Dans un bon jour, les contrôleurs de Schipol nous laissent la traverser. Dans un jour comme aujourd'hui, il faut la contourner par le sud, ce qui ajoute environ 5 minutes de roulage.
Le vol aura donc duré 45 minutes, et le roulage 20... Quoi qu'il en soit, nous arrivons 5 minutes en avance au parking, et à peine les moteurs éteints et la paperasse remplie, nous entamons la préparation du vol retour.
Ce n'est qu'une fois chez moi, vers 10 h du matin, que je me suis rendu compte que le court vol entre Gatwick et Amsterdam est celui qui m'a fait franchir la barre des 100. Et comme depuis le début de ce blog, c'était l'occasion pour moi de vous le faire partager :)
A bientôt !
G-EZDX est un avion neuf, sur lequel j'ai eu l'occasion de voler une fois. Il fait partie de la flotte des 20 A319 basés à Gatwick (auxquels s'ajoutent des 320 et 321 de GB Airways, rachetée par Easyjet il y a peu).
Je vous passerai les différentes check et autres inspections préliminaires, mais nous sommes partis avec 3 minutes d'avance, et arrivé dans les cieux néerlandais très lentement à la demande des contrôleurs locaux qui, visiblement, avaient énormément de travail en ce jeudi matin.
La matinée est traditionnellement très chargée en terme de traffic aérien pour les gros aéroports européens. En effet, il existe un système très organisé de traffic en Atlantique Nord (appelé NATs) qui fait que tous les transporteurs transatlantiques débarquent le matin et repartent dans l'après-midi. Nous étions "coincés" à 160 kts entre un 777 de Continental Airlines et un 747 de Cathay Pacific.
Le taxi à Amsterdam n'est pas une partie de plaisir. En atterrissant sur la piste la plus excentrée de l'aéroport (la 18R), il faut parcourir quelques kilomètres pour arriver au point d'arrêt avant la 18C, qui est quasiment exclusivement réservée aux appareils de la KLM, la compagnie locale.
Dans un bon jour, les contrôleurs de Schipol nous laissent la traverser. Dans un jour comme aujourd'hui, il faut la contourner par le sud, ce qui ajoute environ 5 minutes de roulage.
Le vol aura donc duré 45 minutes, et le roulage 20... Quoi qu'il en soit, nous arrivons 5 minutes en avance au parking, et à peine les moteurs éteints et la paperasse remplie, nous entamons la préparation du vol retour.
Ce n'est qu'une fois chez moi, vers 10 h du matin, que je me suis rendu compte que le court vol entre Gatwick et Amsterdam est celui qui m'a fait franchir la barre des 100. Et comme depuis le début de ce blog, c'était l'occasion pour moi de vous le faire partager :)
A bientôt !